non seulement en Irak, mais aussi en Syrie, en Jordanie et en Arabie séoudite.
Quant au président Abdel Nasser, il devra se montrer dorénavant plus prudent : le passage des communistes dans l’opposition, signifie la reprise probable de la surenchère de la rue. Et celle-ci risque de lui faire perdre une partie de sa capacité de manoeuvre. Toute concession à l’Occident, qui aurait pu être considérée par l’opinion, en juin ou juillet 1958, comme une manoeuvre tactique, peut être qualifiée dorénavant de trahison. Le président Abdel Nasser devra donc s’en tenir, plus qu’hier, au principe du neutralisme positif.
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