- Chapitres
- Avant-propos
- Préface
- Un Sahélien
- La guerre civile au Nigéria
- L’émergence de la Libye
- Niamey - Moscou
- Le paramètre sentimental
- Vive le Québec libre
- Du blé Manitoba n°4
- Pour l’unité physique du pays
- Niamey I et Niamey II
- Le sempiternel problème estudiantin
- Le Parti et l’État
- Le combat pour la revalorisation du prix de l’uranium
- Le putsch : réalités et exégèses
- Tractations à Paris et à Niamey
- L’élimination du commandant Sani
- Annexes
- Présentation de Jacques Baulin
- Qui était Jacques Baulin ?
- Présentation du fonds Baulin
- L’histoire du fonds Baulin
- Soutenir les activités du fonds Baulin
- L’équipe
- Annexes
- Notes sur les réglages plugins
- Mécénat
l’ambassadeur du Niger m’informe que la délégation française sera conduite par M. de Lipkowski et qu’elle arrivera à Niamey le 18 au matin. En conséquence, le Président a décidé de partir pour New York le 20 au lieu du 19. Moi-même, je suis attendu à Niamey le 16 ou au plus tard le 17.
Dans la nuit du 14 au 15 avril, un putsch élimine le président Diori Hamani de la scène nigérienne. À 72 heures de la reprise des négociations franco-nigéro-gabonaise, elles-mêmes se situant à 48 heures du départ du Président pour l’ONU.
De toute évidence, un certain milieu parisien avait opté pour la chirurgie.
