Des interviews exclusives de Dja-Apharou ISSA IBRAHIM, ami et confident de Jacques Baulin, responsable par donation de l’intégralité des documents constituant le fond, et président de l’association sont actuellement publiées dans la rubrique présentation.
Les trois ouvrages de J. Baulin : Conseiller du président Diori, La politique africaine d’Houphouët-Boigny et La politique intérieure d’Houphouët-Boigny
seront disponibles sur le site en version iBook et en version Pdf dès septembre
2009.
Production mondiale :
7,6% de plus qu’en 1975
Production africaine :
13,8 % de plus qu’en 1975.
GENEVIEVE SIGISBERT
REPARTITION GRANDES ZONES
DE LA PRODUCTION MONDIALE
DE PETROLE BRUT EN 1976 br/>
(1% par rapport à 1975) )
PART DE L’OPEP
DANS LA PRODUCTION MONDIALE EN 1976
PRODUCTION EN 1976
DES PRINCIPAUX PAYS PRODUCTEURS
A production mondiale de pétrole en 1976 - selon les estimations que publie a l’entrée de 1977 The petroleum Economist - presque retrouvé son niveau de 73 . Depuis le début des années 70 , elles s’accroissait de 5 à
1970
1971
1972
1973
1974
1975
1976
Millions de tonnes
2 336
2 468
2 604
2 951
2 785
2 644
2 844
variation en%
+9,4
+5,7
5,5
+9,5
-2,3
-5,1
+7,6
Source : The petroleum Economist
Dans toutes les grandes régions pétrolières la production globale a augmente , sauf en Amérique du Nord où elle continue a décroître . Ce qui permet à l’Europe oriental de garder le deuxième rang comme en 1975 (selon les chiffres rectifiés ) , après le Proche - Orient qui tient toujours la tête . Ensuite , l’ordre est le même que précédemment : Afrique , Amérique latine , Extrême - Orient , Chine , Europe occidentale
Milliers
de tonnes
%
du total
Var.76/75
%
Rang
1976
Afrique
263 430
9,3
+13,8
4
Amérique latine
227 443
8,0
+ 2,8
5
Amér. du Nord
466 022
16,4
-3,2
3
Chine
84 700
3,0
+10,0
7
Europe occid. . .
33 702
1,2
+39,5
8
Extrême - Orient .
122 224
4,3
+12,1
6
Proche - Orient
1 101 728
38,7
+12,4
1
Total mondial
2 843 779
100,0
+ 7,6
dont OPEP
1 505 558
52,9
+ 11,7
Source : The petroleum Economist
Milliers
de tonnes
%
du total
Var. 76/75
%
Rang
1976
U.R.S.S.
521 000
18,3
+ 6,4
1
Arabie Saoudite
428 659
15,1
+ 21,8
2
Etats-Unis
4,3 041
14,2
— 2,0
3
Iran
293 906
10,3
+ 10,2
4
Venezuela
118 249
4,2
-3,1
5
Koweït
108 029
3,8
+ 3,1
6
Irak
104 378
3,7
- 5,2
7
Nigeria
101 417
3,6
+ 15,3
8
Libye
92 052
3,2
+ 27,2
9
Chine
840700
3,0
+ 10,0
10
Abu Dhabi
76 737
2,7
+ 14,1
11
Indonésie
74 848
2,6
+ 14,2
12
Canada
62 981
2,2
- 10,1
13
Algérie
46 450
1,6
+ 3,1
14
Mexique
45 690
1,6
+ 10,3
15
Source : The petroleum Economist
Au Proche -Orient , la production , qui avait diminue en 1975 , a repris son élan progressé de 12,3% et atteint un nouveau record . En Arabie Saoudite notamment , elle s’est accrue de 21,8% et place ce pays au deuxième rang des producteurs mondiaux , derrière l’URSS et devant les Etats-Unis . Les augmenté leur production : il en est ainsi de l’Iran, du Koweït , d’Abu Dhabi - mais non de l’Irak ; en recul - . C’est aussi le cas de plus petits producteurs , chez lesquels de ce fait pourcentages de progression sont très spectaculaires : Egypte + 37,3% , Doubaï + 23,9%
La production de l’Europe orientale c’est , comme toutefois , presque uniquement celle de l’URSS , premier producteur mondial depuis 1975 , et qui a majoré sa production de 6,4% par rapport à 1975 et de 21,9 % par rapport à 1973 .
En Amérique du Nord , diminution générale de la production . Aux Etats-Unis elle était en baisse de 2,0% par rapport à 1973 : ils sont ainsi passés , en trois ans du premier au second et maintenant au ressources a restreint la production de 10,1 % par rapport à 1975 et de 33,1 % par rapport à 1973.
En Afrique , la production a progresse de 13,8 % restant toutefois intérieure de 5,5 a celle de 1973 . Nous verrons que les principaux artisans de cette reprise ont été la Libye et le Nigeria .
L’Amérique latine amélioré sa production de 2,8% seulement , car le plus gros producteur , le Venezuela , protège ses réserves et sa production est en baisse continue , de 32,6% par rapport à 1973 , ce que ne compense pas la progression , elle aussi continue , du Mexique , de 96,9 par rapport a 1973 .
La production chinoise a continué sa progression , de 10,0 % par rapport à 1975 , de 59,8 par rapport à 1973.
EVOLUTION DE LA PRODUCTION DE PÉTROLE BRUT DEPUIS 1972
DANS LES PRINCIPAUX PAYS PRODUCTEURS
( en indices - base 100 = année 1973. )
principales réserves de pétrole brut au début de 1976
Enfin ! Europe occidentale a accru sa production de 39,5 % par rapport a 1975 et de 117,3% par rapport a 1973 % par rapport . Car le Royaume-Uni ayant mis en exploitation ses gisements de la mer du Nord a atteint 10 580 000 devenant ainsi le première producteur européen . Il est suivi de la Norvège . 9 832 000 t : la RFA , 5 570 000 t : et avec moins de 2 000 000 t ; l’Espagne ; l’Autriche , les Pays-Bas , l’Italie , la France (1 060 000 ) et le Danemark.
9,3 de la production mondiale
La production africaine , qui avait diminue 1974 et
Milliers de
tonnes 1975
Milliers de
tonnes 1976
Var. 76/75
%
% 1976
du total
Rang
Afrique
1976
Monde
Nigeria
87 982
101 417
+ 15,3
3,6
1
8
Libye
72 390
92 052
+ 27,2
3,2
2
9
Algérie
45 057
46 450
+ 3,1
1,6
3
14
Liban
11 315
11 251
- 0,6
0,4
4
23
Angola
8 401
5 800
- 31,0
0,2
5
Tunisie
4 611
3 990
- 13,5
0,1
6
Congo
1 789
2010
+ 12,4
0,1
7
Caire
10
460
-
-
8
Total
213 555
264 430
+ 13,8
9,3
Source : The petroleum Economist
9,8 des réserves mondiales
Les réserves mondiales de pétrole brut étaient estimées au 1 er janvier 1975 a 102 250 millions de tonnes , au 1er janvier 1976 a 94 098 millions , 8% de moins qu’en 1975 , au 1er janvier 1977 a 81 718 millions , 13,2% de moins qu’en 1976. Elles présenteraient 31 années de production sur la base de 75.
Millions de tonnes
% du total
Afrique
7 997
9,8
Amérique latine
4 039
4,9
Amérique du Nord
5 116
6,3
2 729
3,3
Europe occidentale
3 348
4,1
Europe orientale
11 064
13,6
Extrême - Orient
2 646
3,2
Proche-Orient
44 779
54,8
Total mondial
81 718
100,0
Source :
(
Dans toutes les grandes régions pétrolières le chiffre des réserves a diminue par rapport a 1975 il est ainsi passe en Afrique de 8 741 millions de tonnes de 9,3 % du total a 7 997 millions de tonnes et 9,8 % du total . La Libye est comptabilisée pour 3 479 millions . Le Nigeria pour 2 660 . L’Algérie pour 928 et le Gabon pour 290 millions de tonnes .
Bilan
2,1% de la capacité mondiale de raffinage
La capacité de raffinage de l’Afrique était estimée au 1er janvier 1976 a 75 110 000 t. an . 2,1% de la capacité mondiale . Après l’Afrique du Sud qui , avec ses quatre grandes raffineries dont deux des plus importantes d’Afrique , totalisant 21 215 000 t. après l’Egypte et les Canaries viennent l’Algérie avec 5 625 000 t. , la Libye avec 4 595 000 t. le Kenya , le Maroc avec 3 5000 000 t. le Nigeria avec 2 750 000 t. , la Côte d’Ivoire , l’Angola , le Ghana la Tunisie . etc.
L’année pétrolière 1976 en Afrique .
Le
Près de 70 000 km 2 de titres miniers sont attribués a quatorze groupes de sociétés , la société d’Etat Nigérian National Oil Corporation (Nnoc) étant présenté dans près toutes ces associations avec une participation de 45 à 6
On cite 110 principaux gisements qu’exploitent groupes , par ordre d’importance en production Shell qui réalise les deux tiers du tonnage Golf Mobil Aqip / Phillips / Nnoc , Eif Nigeria / Nnoc , Texaco / Chevron et A
En 1975 les exportations a destination des Etats
Une seule raffinerie , celle de Port-Harcourt , d’une capacité de 3 millions de t/an , exploitée par la société de Nigérian Petroleum Refinig Corporation (60%) Shelle/BP (40%) . Sa production n’étant plus suffisante autorités nigérianes ont projeté deux raffineries l’un Warri , dans le Centre -Ouest , de 5 millions de t.an. , serait mise en service en 1978 , l’autre à Kaduna , dans Nord , qui serait mise en service vers 1980-1981 .
Nigeria
1) La stabilité des prix sur les marchés internationaux et la croissance des revenus des pays membres . Les accords de Téhéran (février 1971) et de Tripoli (avant 1971), valables six ans , majorent les prix et l’impôt sur les bénéfices .
2) La sauvegarde des avantages acquis par les pays producteurs en matière de prix et de revenus . Après la dévaluation du dollar , des accords de Genève (janvier 1972 et juin 1973) indexent les prix affiches sur les taux de change. Après le déclenchement de la « guèrre du Kippour » (octobre 1973 ) , les prix affichés , désormais fonction des prix du marché , sont quadruplés (1er janvier 1974), le taux de la redevance passe de 12,5 à 20 % et celui de l’impôt sur les bénéfices à 85%. En septembre 1975, majoration de 10% des prix .En décembre 1976 , l’Arabie Saoudite et des Emirats arabes unis décident une hausse de 5% au 1er janvier 1977 sur les prix officiels de vente , les onze autres pays membres , une hausse de 10,33% au 1er janvier 1977 et de 4,72% au 1er juillet 1977.
3) Mise en œuvre d’une politique commune de contrôle de la production . L’accord de New York (octobre 1972) prévoit que les gouvernements recevront une part des actions des compagnies étrangères exerçant sur leur soi , qui ira de 25% en 1973 a 51 % en 1982 . En fait , la prise de contrôle évolue beaucoup plus rapidement et va aujourd’hui de 60 à 100% .
Le gaz associé étant jusqu’ici brûle en grandes quantités , les autorités nigérianes ont autorisé Shell / BP et Agip / Phillips à construire deux usines de liquéfaction de gaz naturel respectivement près de Bony et d’Escravos .
La
Une quinzaine de groupes de sociétés étrangères y sont en activité avec la société d’Etat National Oil Corporation (NOC) . Une quarantaine de gisements sont expoloites , par neuf sociétés , dont la plus importante est Oasis , qui réalise a elle seule plus du tiers de la production .
Pour augmenter sa capacité de raffinage , la Libye a double la capacité de sa raffinage , la Libye a double la capacité de sa raffinerie de Zawia (6 000 000 t) et prévoit de créer de nouvelles unités a Tobrouk (11 000 000 t) , Brega (15 000 000 t ) , Misourata (10 000 000 t) et Zuetina (22 000 000 t )
L’Algérie est le troisième producteur africain et le quatorzième producteur du monde . Elle a produit en 1976 46 450 000 t de pétrole , soit 3,1% de plus qu’en 1975 . De source algérienne , brut et condensât ont totalisé 50 100 000 t, dont 45 000 000 t ont été exportées à l’était brut , le reste étant raffiné localement pour la consommation interne et l’exportation
Au rythme actuel , les réserves de l’Algérie , estimées a 1 milliards de tonnes , devraient lui permettre encore une vingtaine d’années d’exploitation . Pour cette production stabilisée autour de 50 000 000 t , les quatre oléoducs existants , d’une capacité totale de 85 000 000 t, lui suffisent .
Nous bornant à la première transformation du pétrole sans entrer dans le domaine de la pétrochimie , rappelons que l’Algérie possède actuellement trois raffineries à Alger (2 700 000 t ) , Arzew (2 500 000 t ) et Hassi -Messaoud (225 000 t) . Cette dernière est en cours d’extension (1 000 000 t) et trois autres en cours de réalisation à Béjaia (7 500 000 t) Skikda (15 000 000 t ) et In -Aménas (300 000 t) .
Pour transporter son pétrole brut et ses produits raffines l’Algerie , c’est-a-dire la Compagnie nationale algérienne de navigation (Cnan) accélère la constitution de sa flotte pétrolière , qui est des maintenant de l’ordre de 760 000 tonnes .
On sait quels grands espoirs l’Algérie a fondes sur le gaz naturel . Ses réserves sont estimées à un minimum de 3 000 milliards de mètres cubes - dont on peut extraire 500 millions de tonnes de condensants associés . Les principaux gisements sont ceux de Hassi R’Mel (2 000 milliards).
principales réserves de gaz naturel au début de 1976
La réalisation du programme d’exportation de gaz de pétrole liquéfié (GPL) suppose la mise en place d’importants équipements de traitement au champ , de gazoducs , d’usines de liquéfaction , d’équipements portuaires . L’Algérie dispose actuellement de trois gazoducs : deux sont en extension , et un quatrième est en cours de réalisation . Elle a deux usines de liquéfaction , celle d’Arzew et celle de Skikda ; la capacité de celle - ci doublera progressivement à partir de 1977 ; et a Arzew trois nouvelles usines seront construites , l’une pour 1978 , les deux autres pour 1979 la capacité totale atteindra ainsi 46 milliards de m3 pour 1980 , ce qui est suffisant pour honorer les contrats avec l’Amérique .
L’Europe occidentale doit être fournie en gaz naturel , non liquéfié , au moyen d’un gazoduc entre l’Algérie et la France via l’Espagne , mais si ce gazoduc n’était pas réalise rapidement une nouvelle usine de liquéfaction serait nécessaire Quant au gazoduc qui avait été envisagé entre l’Algérie et l’Italie via la Tunisie et la Sicile , les deux parties y ont renoncé a la fin de 1976 , en raison , dit le communique de
l’absence d’accord entre la société nationale Italienne Eni et la Tunisie sur le passage de l’ouvrage dans dans ce pays . Il s’agira donc ici encore de livrer du Gaz liquéfié . Cnan s’équipe elle-même en navires méthaniers et le port méthanier de Béthooua , en construction près d’Aezew , sera l’un des plus importants du monde .
situation début 1976
En 1974 le pétrole représentait 82% des exportations algériennes . Les recettes en devises du secteur pétrolier au titre de 1976 dépasseront 5 milliards de dollars , ce qui constitué une augmentation de 25% sur 1975 , du fait de l’accroissement de la production et du relèvement du prix de vente du pétrole brut et du gaz naturel exporté .
Les
Les
Brut concession , le prix de revient est constitué par le coût d’exploitation , la redevance et l’impôt sur les bénéfices .
Brut participation le prix de cession par l’Etat producteurs aux sociétés de 93% du prix affiche .
Brut vendu directement par l’Etat producteur , le prix est fixe par l’Etat , ll est en général actuellement celui du brut participation .
Le
Nous signalerons d’autres part , au large du Gabon ,
La Société gabonaise de raffinage (Soqara) qui dispos depuis 1968 a Port -Gentil d’une raffinerie dont la capa-
La guerre civile a fait tomber la production de l’
La production de la
A noter que le plateau continental du golfe de Gabès , dont la Tunisie est riveraine mais aussi la Libye , fait litige entre les deux pays , qui ont demandé à la Cour internationale de justice de La Haye de fixer les principes de la délimitation.
La raffinerie de Bizerte ne couvre pas entièrement les besoins du marché intérieur . Aussi sa capacité , de 1 000 000 t/an , devrait -elle être doublée . D’autre part une deuxième raffinerie et un complexe pétro-chimique seraient construits à Gabès .
La production commercialisée de gaz naturel était en 1975 de 215 millions de m3 ; celles d’El Borma (94%) alimente la centrale de Ghamarche , près de Gabès , et le gaz du Cap-Bon la ville de Tunis .
Au
ne pourra en récupérer qu’une faible part , soit au cours des six prochaines années quelque 12 millions de tonnes . Le aisément de Loango est beaucoup moins de tonnes . Le gisement de Loango est beaucoup moins important mais son brut est de meilleure qualité : on prévoit d’en tirer quelque 10 millions de tonnes en une dizaine d’années . Dans l’un et l’autre cas les difficultés techniques ont de beaucoup alourdi les investissements . En février 1976 , le gouvernement congolais a décidé la révision des accords qui le lient aux deux sociétés . En même temps , pour diversifier ses partenaires , il accordait un permis marin à la société américaine Getty OIL Company , et en fin d’année il était question d’une coopération iranienne . La raffinerie de Pointe -Noire , d’une capacité de 1 million de tonnes , a été mise en service en octobre 1976.
Au
La fièvre de l’or noir
La prospection des hydrocarbures est menée tout autour de l’Afrique , sur les côtes de la Méditerranée , de l’Atlantiques et de l’océan Indien , et jusqu’au coeur du continent , avec la participation de nombreuses société européennes et américaines .
Au
En
Au
La
Au
Au
Au
Au
GENEVIEVE SIGISBERT .
Le Ministère de l’Industrie et de la recherche . Direction des carburants , établit chaque année une analyse de la consommation française . Selon les chiffres provisoires pour 1976 , la consommation civile - marché intérieure civil et soutes civiles françaises en augmentations de 8,4 % sur 1975.
L’approvisionnement du raffinage français en pétrole brut a été de 119 843 000 t , en augmentation de 14% sur 1975 . Il est été assuré par la France à raison de 1 046 000 t , soit moins de 1% et par les importations a raison de 118 797 000 tonnes . Celles-ci provenaient essentiellement du Moyen-Orient , 81,9% et de l’Afrique , 13,5% les autres pays fournissant seulement 4,6% . Les fournisseurs les plus importants étaient :
l’Arabie Saoudite , 43,888,000 t, 36,9% du total 31% de plus qu’en 1975 :
L’Irak , 16 682 000 t, 14,0% du total ,38% de plus qu’en 1975.
Abu Dhabi , 9 794 000 t , 8,2% du total
Avec 2 395 000 t de façonnage , l’approvisionnement total du raffinage français se chiffrait a 122 238 000 tonnes .
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