Des interviews exclusives de Dja-Apharou ISSA IBRAHIM, ami et confident de Jacques Baulin, responsable par donation de l’intégralité des documents constituant le fond, et président de l’association sont actuellement publiées dans la rubrique présentation.
Les trois ouvrages de J. Baulin : Conseiller du président Diori, La politique africaine d’Houphouët-Boigny et La politique intérieure d’Houphouët-Boigny
seront disponibles sur le site en version iBook et en version Pdf dès septembre
2009.
LE MONDE - 13 juillet 1977 - Page 21
Les salons et le jardin du palais de l’ Elysée seront ouverts au public jeudi 14 juillet, de 16 heures à 19 heures, après la traditionnelle réception que le président de la République donne à l’ occasion de la fête nationale. Les visiteurs pourront se présenter à partir de 15 h 30 à l’ entrée principale du palais, 55, rue du Faubourg-Saint-Honoré. On indiquera, dans le cours de l’ après-midi, à ceux qui se trouveront dans la file d’ attente, s’ ils ont quelque chance d’ entrer avant la fermeture.
L’ ouverture du palais présidentiel au public répond à une promesse que M. Giscard d’ Estaing avait faite pendant la campagne électorale de 1974.
(Pour ce qui concerne le défilé militaire, lire nos informations page 6.)
PRESSE. - Les quotidiens paraîtrons normalement le jeudi 14 juillet.
BANQUES. - Fermées du mercredi 13 juillet à 12 heures au vendredi 15 au matin.
GRANDS MAGASINS. - Tous fermés le jeudi 14 juillet.
R.A.T.P. - Service réduit des dimanches et jours féries le jeudi 14 juillet.
P.T.T. - Les bureaux de poste seront fermés le jeudi 14 juillet. Seuls resteront ouverts ceux qui le sont habituellement le dimanche. En outre, un bureau sera ouvert de 8 à 12 heures au chef-lieu de chaque canton. Tous ces bureaux assureront les services téléphoniques et télégraphiques, la vente des timbres - poste au détail, ainsi que, jusqu’à 11 heures, la distribution au guichet des objets de correspondance en instance ou adressés soit poste restante, soit aux abonnés de boîtes postales. Il n’ y aura pas de distribution à domicile.
SECURITE SOCIALE. - Les caisses de Sécurité sociale seront fermées du mercredi 13 juillet à 14 heures au vendredi 15 juillet au matin.
ALLOCATIONS FAMILIALES. - La caisse d’ allocations familiales de la région parisienne annonce que ses guichets et services d’ accueil situés : 12-18, rue Vials, Paris-15 ; 9, rue de Liège, Paris-9 ; 64-68, rue du Dessous-des-Berges, Paris-13 ; 78, rue du Général-de-Gaulle, Maisons-Alfort ; tour Ouest, carrefour Pleyel, Saint-Denis ; 36, aventue F-Joliot-Curie, Garges-lès-Gonesse ; 119-121, avenue Jules-Quentin, Nanterre, seront fermés du mercredi 13 juillet à 12 heures jusqu’au vendredi 15 juillet au matin. Les centres de diagnostic et de soins ansi que la clinique dentaire resteront ouverts le mercredi 13 juillet dans l’ après-midi.
MUSEES. - Tous les musées nationaux seront fermés le jeudi 14 juillet, à l’ exception des musées de l’ Armée, deMarmottan, de Rodin, de Ciuny, les grands appartements du château de Fontainebleau du château de Versailles et du Trianon du château de Compiègne, du château de Biérancourt de l’ Ile d’ Aix, du musée Adrien-Dubouché à Limoges, Arts et traditions populaires, château de Pau, maison de Lattre de Tassigny à Moulleron-en-Pareds, Musée préhistorique des Eyzies de Tayac.
Les musées de l’ hôtel national des Invalides (Musée de l’ armée, Dôme royal, église Saint-Louis, Musée des plans-reliefs) seront ouverts le jeudi 14 juillet, de 10 à 18 heures, sans interruption. Le public aura accès au tombeau de Napoléon jusqu’à 19 heures. La projection permanente de documentaires et de grands films en exclusivité sur les guerres de 1914-1918 et 1939-1945 aura lieu dans la salle de cinéma du Musée de l’ armée, de 14 à 18 heures.
La Bibliothèque nationale et le Palais de la découverte seront fermés le jeudi 14 juillet, ainsi que la Sainte-Chapelle de Paris, la Conciergerie et les tours de Notre-Dame de Paris.
Les expositions suivantes seront ouvertes le jeudi 14 juillet : "L’ islam des collections nationales" au Grand Palais ; Henri Moore, à l’ Orangerie ; "Boutiques d’ hier et d’ aujourd’ hui", au Musée des arts décoratifs ; "Sculptures de Notre-Dame récemment découvertes", au musée de Cluny ; "Les Vendéens et la gloire" au musée De-Lattre-de-Tassigny.
Extrait des minutes du Greffe du tribunal de grande instance de GRASSE. D’ un jugement contradictoirement rendu le 24 mai 1977 par le tribunal correctionnel de GRASSE, il appert que :
PETROSSIAN Edouard, né le 21 juillet 1917 à PETROGRAD (Russie), décorateur, demeurant à LE CANNET, avenue Mont-Joli "Azur Soleil", ou à CACHAN (94), 17, rue Estienne-d’ Orves, a été condamné à la peine de SIX MOIS D’ EMPRISONNEMENT AVEC SURSIS et VINGT MILLE FRANCS D’ AMENDES, pour FRAUDE FISCALE.
Les ministres du pétrole des treize pays membres de l’ OPEP se sont retrouvés mardi 12 juillet, à 10 heures, dans les salons du Grand-Hôtel de Satlsjoebaden, à une vingtaine de kilomètres de Stockholm. Cette 49° conférence de l’ OPEP devrait s’ achever mercredi soir.
Après la décision de l’ Arabie Saoudite et des Emirats arabes unis de relever de 5% le prix de leur pétrole et de s’ aligner ainsi sur la majorité de l’ OPEP qui a renoncé à une hausse supplémentaire pour permettre la réunification de l’ organisation, il ne devrait pas être, en principe, question de prix du pétrole. Cette réunion s’ ouvre dans un environnement maussade, marqué par un ralentissement de l’ activité économique mondiale et par la baisse du dollar. Les pays exportateurs devraient examiner l’ indexation du prix du "brut", la compétitivité du pétrole par rapport aux autres sources d’ énergie, les prix du gaz, la dévalorisation du dollar, la valeur relative des différents pétroles et, sans doute, la planification de la production. Autant de questions qui ne peuvent laisser indifférents les pays consommateurs.
Stockholm. - il n’ aura fallu que six mois aux treize membres de l’ Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) pour réunifier les prix du "brut". La scission provoquée par l’ attitude de l’ Arabie Saoudite, en décembre dernier, à la conférence de Doha, a cependant perturbé le fonctionnement de l’ Organisation.
Dans la lutte feutrée que se livrent Ryad et Téhéran pour affirmer leur hégémonie au Moyen-Orient, comme dans les rudes discussions qui préludent à l’ instauration d’ un pacte de sécurité dans le golfe Persique, le pétrole est une arme qu’ utilisent les pays exportateurs les uns contre les autres, M. Sarkis, conseiller de plusieurs pays et notamment de l’ Irak, souligne dans sa revue le pétrole et le gaz arabes : "Tout en continuant à s’ opposer à l’ utilisation du pétrole comme arme politique dans le conflit du Moyen-Orient (...), l’ Arabie Saoudite est, dans tous les autres domaines, le seul pays de l’ >OPEP à utiliser aussi systématiquement le pétrole comme moyen de marchandage politique."
Malgré de fortes tempêtes, en janvier et février, qui ont rendu partiellement inutilisable son terminal de Ras-Tanura, un incendie qui a détruit des installations en mai à Abqaiq et une forte demande américaine au cours d’ un hiver particulièrement rigoureux, l’ Arabie Saoudite a pu imposer sa modération en raison d’ un marché déprimé (en France, en République fédérale d’ Allemagne, les importations du premier semestre restent inférieures de 3% à celles de la même période en 1976). La hausse de 5% décidée par Ryad au 1er juillet ne peut même pas être considérée comme un abandon de cette politique. En lâchant le minimum de lest pour maintenir sa position prédominante à l’ intérieur de l’ OPEP, Ryad n’ a pas infléchi la tendance d’ un prix du "brut" qui, en fait, demeure stable (en dollars de valeur constante) depuis 1974, il devrait en être de même dans les années à venir : le développement rapide de l’ extraction des pétroles de la mer du Nord (1,3 million de barils-jour à la fin de cette année) vont ralentir la demande de "brut" originaire de l’ OPEP, déjà modérée par la lenteur de la reprise des économies occidentales.
L’ Arabie Saoudite a donc gagné son pari, mais cela ne va pas sans amertume chez ses partenaires. On en veut pour exemple le refus de l’ Irak et de la Libye de s’ associer, préalablement, à toute décision de Ryad, aux neuf autres membres de l’ organisation pour renoncer à la hausse de 5% prévue pour le 1er juillet.
des "différentiels"
Les pays qui ont un besoin d’ argent pour financer leur développement ne manqueront pas de faire remarquer que, à chaque hausse du prix du pétrole, le dollar - monnaie utilisée pour toutes les transactions pétrolières - baisse. Pour faire face à ce phénomène, les membres de l’ OPEP avaient décidé, lors de la conférence de Libreville en Juin 1975, de calculer les prix pétroliers en droits de tirage spéciaux (D.T.S.) ; ceux-ci, fondés sur seize monnaies, permettent d’ atténuer les fluctuations de prix provoqués par les variations de change. Mais, il n’ en a guère été question par la suite. Va-t-on y revenir ?
L’ indexation du prix du pétrole est un autre des grands thèmes des réunions de l’ OPEP, sans pour autant faire l’ unanimité. Lorsque plusieurs pays, dont l’ Irak, ont avancé, en novembre dernier, des chiffres d’ érosion de leur pouvoir d’ achat tournant autour de 40% en deux ans, l’ Arabie Saoudite leur a répondu - c’ est la thèse des pays industrialisés - qu’ ils incluaient, dans ce chiffre, leur propre inflation, due à toutes sortes de blocages structurels (blocage des ports, inadaptation ou manque de main-d’oeuvre...). D’ expertises en contre-expertises, il y a plusieurs années maintenant qu l’ OPEP se dispute sur ce sujet.
Le dossier principal de cette réunion de Stockholm devrait être la valeur relative des différents pétroles (dits "différentiels") selon la qualité et la distance des lieux d’ extraction du "brut", problème qui fait grincer bien des dents parmi les pays membres. Alors que les augmentations de prix le 1er janvier devraient être de 5% ou de 10% selon le camp auquel on appartenait, par le biais des différentiels, les hausses se sont étagées entre 4 et 14%. Pour ne prendre qu’ un exemple. Il y a actuellement une différence de 19 cents par baril, malgré la réunification, entre deux "brut" de même densité, l’ un iranien, l’ autre saoudien. La Middle East Economic Survey constate que, "malgré la réunification du prix du "brut" de référence, les pétroles lourds et moyens du Koweït et de l’ Iran souffriront encore d’ un désavantage substantiel si l’ Arabie Saoudite ne réajuste pas radicalement ses différentiels pour les bruts comparables". A Bail, en avril 1976, un accord partiel était intervenu entre les pays membres. Apparemment il a fait long feu. L’ OPEP arrivera-t-elle à mettre sur pied un nouveau système de calcul ?
Un autre sujet pourrait être évoqué, dit-on à Stockholm : le prix du gaz, il est au centre des préoccupations de plusieurs pays de l’ OPEP, et d’ abord de l’ Iran et de l’ Algérie, qui disposent respectivement de 16,5 et de 5,5% des réserves mondiales. Depuis 1974, plusieurs pays souhaitent la création d’ une organisation des pays exportateurs de gaz.
Mais, le gaz n’ est pas le pétrole. Il n’ y a pas de marché mais des contrats à long terme, et le prix du transport entre pour plus de 50% dans le prix final. Enfin, selon qu’ il s’ agit de gaz naturel liquéfié transporté par bateau ou de gaz expédié par gazoduc, le prix est bien différent. On ne cache donc pas à l’ OPEP que le dossier n’ est techniquement pas mûr. Faut-il ajouter : heureusement pour les pays consommateurs ? S’ il n’ est envisagé qu’ une simple indexation du prix du gaz sur celui du pétrole, les répercussions seront moindres puisque la plupart des contrats font déjà référence au prix du fuel.
Au total, les pommes de discorde ne manquent pas pour cette réunion qualifiée par certains "de routine". Sur chacun des sujets en question, les clivages entre "durs" et "modérés" entre pays faiblement peuplés et pays à forte population, se retrouveront. Mais l’ OPEP est un club où depuis dix-sept ans maintenant les pays exportateurs se concertent régulièrement pour tenter d’ élaborer une politique commune. Et il y a longtemps que ses membres - l’ Arabie Saoudite en tête - ont compris que leur force collective est infiniment supérieure à la somme de leurs puissances individuelles.
Baisse de la consommation française de produits pétroliers, - 38 842 400 tonnes de produits pétroliers ont été consommés en France au cours des cinq premiers mois de l’ année, soit une baisse de 4,2% par rapport à la même période de 1976. Ce total, estime le ministère de l’ industrie, du commerce et de l’ artisanat, est compatible avec l’ objet de 55 milliards de francs fixé par le gouvernement pour les importations pétrolières en 1977. L’ essence (+3,3%) et le gas-oil (+8,3%) ont vu leurs consommations croître, tandis que celles de fuel domestique (-3,5%) et de fuel lourd (-10,7%) baissaient.
De notre correspondant
Bruxelles (Communautés européennes). - Un coup d’ envoi décisif aux négociations commerciales multilatérales - "Tokyo round", - engagées depuis deux ans sous l’ égide du GATT, vient-il d’ être donné ? Nul ne doute que la nouvelle administration américaine souhaite désormais les mener bon train. M. Strauss, représentant spécial du président Carter pour ces négociations, est venu le dire, le 11 juillet, à Bruxelles, à la Commission européenne, et, apparemment, a reçu un écho favorable.
"Je pourrai faire au président Carter un rapport très positif. Nous sommes entièrement d’ accord sur ce qui est le plus important. Nous estimons absolument nécessaire de mener une négociation large et fondamentale. Nous ne pouvons nous permettre le luxe d’ un retard", a-t-il déclaré, à l’ issue des entretiens. A en juger par son comportement péremptoire et définitif, au cours de la conférence de presse tenue conjointement avec M. Haferkamp - le vice-président de la Commission, chargé des relations extérieures, - on peut cependant se demander jusqu’à quel point ses interlocuteurs ont eu le loisir d’ introduire quelques nuances dans la discussion. Lundi à Bruxelles, ce visiteur, au verbe haut, donnait, de manière irrépressible, l’ impression d’ être le maître des lieux.
Et s’ il en était de même lors des négociations ? La pesanteur des institutions de la Commission peut parier seule, mais a besoin du feu vert des gouvernements membres pour décider, est, pour une fois, de nature à rassurer. A y regarder de près, les "engagements" pris lundi se ramènent à un projet de calendrier, M. Strauss entend que les travaux préparatoires soient achevés d’ ici au 15 janvier 1978. Les négociations "finales, détaillées et définitives "pourraient alors débuter avec l’ idée de les mener à terme, elles aussi, au pas de charge : "Qautre-vingt-dix jours devraient suffire", a estimé le représentant spécial du président Carter.
Sur le fond, les deux parties se sont contentées de répéter des positions connes. En ce ce qui concerne l’ agriculture, source d’ inquiétude pour plusieurs pays membres, M. Strauss s’ est rassurant : "Nous reconnaissons les problèmes sociaux et économiques que pose l’ agriculture européenne. La modification des structures de la politique agricole commune ne peut s’ opérer de jour au lendemain, et nous n’ avons pas l’ intention de les bouleverser. Nous voulons nous engager à fond pour l’ agriculture soit négociée parallèlement à l’ industrie, en tenant compte de ses caractéristiques propres."
Même souci d’ apaisement à propos des prétentions du tribunal des douanes américain d’ impose ; des droits compensateurs sur les importations de produits ayant bénéficié d’ une ristourne de la T.V.A., "qui est parfaitement contraire au GATT" : "Notre pays est engagé à fond dans cette bataille. Nous sommes conscients du chaos économique international qui pourrait se produire si nous la perdions. Si c’ est nécessaire, nous porterons l’ affaire devant la Cour suprême et, si elle nous donne fort, nous nous adressons au Congrès."
Reste à savoir, au-delà de ces confirmations, quels sont exactement les objectifs que les Etats-Unis assignent au "Tokyo round" ? Quelles concessions veulent-ils obtenir ? Que peuvent-ils offrir ? La France - qui l’ ignore ? - n’ attend rien de très bon de ces négociations, ouvertes malgré elle et qu’ elle considère volontiers comme déséquilibrées. Sa principale préoccupation - alors que la Communauté a, devant elle, un partenaire qui, faut-il le rappeler, depuis trente ans que le GATT existe, n’ applique pas la règle du jeu et s’ est même doté d’ une législation (le "Trade Act") contraire à l’ accord - est d’ éviter de faire un marché de dupes et de s’ en tirer au moindre mal. Dans cette optique, pourquoi ne pas souscrire au désir d’ en finir vite, proclamé par l’ administration Carter ? N’ est-ce pas le seul moyen de ne plus laisser indéfiniment la Communauté dans une situation - la négociation permanente - de moindre résistance ? Entre la France et les Etats-Unis, un terrain d’ entente est donc possible, mais à la condition - dont on ignore encore si Washington est disposé, au-delà des discours, à la faire sienne - que les objectifs concrets de la négociation demeurent modestes.
Les exportations du Japon ont progressé de 18,2% en juin par rapport au même mois de 1976 pour atteindre 7 126 millions de dollars. Toutefois, ce taux de croissance est, avec celui de 18,7% enregistré en mai, le plus faible du premier semestre 1977. Les ventes à l’ Amérique du Nord et à l’ Europe occidentale n’ ont augmenté que de 15,4% et de 12,8% respectivement en un an, celles au Sud-Est asiatique, qui représentent 20% du total, ont fait un bond de 30,8%, alors que les ventes au bloc communiste ont chuté de 25,5%. - (A.F.P.)
Augmentation du chômage en Belgique. - Deux cent quarante-six mille six cents Belges étaient chômeurs complets à la fin du mois de juin. Cela représente 6,2% de la population active. Les chiffres communiqués le 8 juillet par l’ Office national belge de l’ emploi sont en hausse de 14,6% par rapport à la fin juin 1976. (A.F.P.)
Dans les vingt-quatre pays de l’ O.C.D.E. la hausse des prix à la consommation s’ est ralentie en mai, s’ établissant à 0,7%, contre 1,1% en avril, en raison de l’ évolution plus favorable des cours des matières premières et des produits alimentaires.
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